Artistes




 

 

        Eric Brault est né à Paris en 1960. Il vit et travaille à Saint-Malo et Saint-Brieuc des Iffs

         Il est diplômé de l'Ecole des Beaux Arts de Paris en 1985 et résident à la Casa Vélasquez à Madrid de 1986 à 1989.

        Enseignant à l'Académie Malouine d'Art Plastique, il expose depuis 1992 à la Galerie Ombre et Lumière à Saint-Malo

 

 



Maya Mémin est née en 1943 à Bergerac en Dordogne.

Elle fait ses études à l'école des Beaux Arts de Rennes ( gravure et peinture )

Elle a enseigné au Beaux Arts de Phnom Penh de 1968 à 1970 puis aux Beaux-Arts de Rennes de 1974 à 1992.

Elle vit et travaille à Rennes

 

Pour découvrir son site internet vous pouvez cliquez ici

 

 

 




 

1 : Rodolphe Le Corre , " Cancale ", huile sur toile,  exposition galerie Ombre et Lumière, été 2017

2 : Rodolphe Le Corre, " Cap-Fréhel ", huile sur toile, 50x65 cm, exposition galerie Ombre et Lumière, été 2019

3 : Rodolphe Le corre, " Saint-Lunaire ", huile sur toile, 50x50 cm, exposition à venir à la galerie Ombre et Lumière cet été 2021

 

Rodolphe le Corre est né en 1959

il vit et travaille à Lorient

Cliquez ici pour accéder à son site internet

 

 



Dominique Hézard est née en 1951 à Paris

De 1973 à  1978 elle est étudiante aux Beaux-Arts de Brest

De 1985 à 1987,  boursière du gouvernement japonais, elle étudie la calligraphie à l’Université Gakugei de Tokyo

Dominique Hézard vit au Japon.

Depuis les années 1980, elle expose régulièrement en France et au Japon. L’étude de la calligraphie, poursuivit depuis plus de trente ans, et la pensée qui la sous-tend, nourrissent un travail sur la ligne, le trait, le papier, le geste, l’espace.

Elle réalise des interventions in situ en pleine nature et en intérieur. À ces occasions, elle a travaillé de nombreuses fois avec les danseuses et chorégraphes Marie Ségalen et Aiko Kimura, le vidéaste Haruo Higuma, le contrebassiste Hiroshi Yoshino. (voir la vidéo ci-dessous)

Pour découvrir ses expositions à la galerie Furuya à Tokyo vous pouvez cliquer ici

“ Textures, fibres ou matériaux sont les rameaux d’un arbre de vie. La main recueille autant qu’elle donne et montre une charge perceptive forte en plénitude et sensibilité. En situant son travail à la convergence entre cultures et pratiques différentes, mais en maintenant ce travail dans le fil et l’esprit d’une même “ écriture “, Dominique Hézard dévoile l’inattendu ou l’étonnant, dégage un champ perceptif où le tactile se mesure au visuel dans l’accomplissement d’un réel qui nous invite.” Alain Béraud 1993 L’acte et le geste (extrait)



Pierre Delcourt, né en 1956, vit et travaille en Bretagne. Il est représenté à Paris par la galerie Akié Arichi (Paris) et expose régulièrement à la galerie Ombre et Lumière. Il travaille sur toile et papier et réalise également des livres d’artiste dont 2 livrets d’art édités en 2019 par la galerie Ombre et Lumière: Pêcheur de vent et Cascades et séquoïas. En 2021 les Éditions Ombre et Lumière lui ont consacré une monographie de 93 pages au format 21x27 cm disponible à la galerie.

pour accéder au site de Pierre Delcourt cliquez ici

sur youtube : Plouguiel, Pierre Delcourt, la peinture au delà des mots

 




 

 

 



Exposition

Turbulences du coeur

février 2019

 



Mon travail débute très souvent d’une observation de mon environnement quotidien ou celui qui m’est proposé de «résidences d’artistes ».Commence alors une période d’étude du sujet par le dessin et l’aquarelle . des colombages observés à Rennes , à Hennebon t ou Stein am Rhein  nourrissent  ma réflexion aux lumières ou structures de la baie du MONT st Michel, « tout y passe » , Puis le travail d’atelier s’impose .
La peinture à l’huile me convient particulièrement car la lenteur de son séchage me permet de retravailler la matière.
En atelier, je développe ma recherche plastique, mon langage, laissant apparaître tantôt des matières, tantôt des transparences, des matités ou des brillances, le tout orchestré par le dessin.
Comment faire sourdre du sujet la peinture qu’il recèle ?
Ces paysages de Bretagne ou de Suisse sont naturellement autant de prétexte à la peinture .
Il me faut donc un dessin et un dessein pour espérer ma peinture .

Rodolphe  Le Corre

 




 

1 : Kathy Diascorn, quatre  grands sachets avec du jaune d'or, 2018

2 : Kathy Diascorn, peinture et goudron sur papier, 24x30 cm, 2020

3 :  Kathy Diascorn, peinture et goudron sur papier, 24x30 cm, 2020

 

Kathy Diascorn est née en 1958. Elle a mené des études à l'école des Beaux-Arts de Brest, ville où elle vit et travaille.

Elle a exposé à Tokyo, Luçon, Brest... et expose régulièrement à la galerie Ombre et Lumière à Saint-Malo

 



 

 

Françoise Bailly, peinture, 2010

Françoise Bailly,  peinture sur bois, 80x80 cm, 2019

Françoise Bailly, peinture sur bois, 80x80 cm, 2017

Françoise Bailly, peinture sur bois, 2023

 

Françoise Bailly est née en 1961. Elle étudie à l'école des beaux Arts de Besançon où elle obtient son diplôme en 1987

Elle vit et travaille en Bretagne

Elle expose régulièrement à La galerie Ombre et Lumière à Saint-Malo 

et au  Cabinet d'Estampes de Cantomheuc (cliquez ici )

 

 

 



 

Annick Thévenot vit et travaille à Dinan

Elle expose régulièrement en Bretagne et à la Galerie Ombre et Lumière à Saint-Malo

" Les encres de petits et grands formats se dévoilent différemment selon le papier choisi par l’ancienne professeure de l’amap et explosent en noir et blanc sur les murs. Un travail lent, né de ses promenades entre terre et mer et réalisé dans une écriture gestuelle au trait méditatif.

Peindre à la brindille

« Aucun pinceau, mes outils sont une branche, une brindille, la fleur et la tige d’une graminée par exemple, glanées en pleine nature. C’est le fruit d’un cheminement de pensée où le vertical et le mouvement sont privilégiés », confie l’artiste dinannaise, qui s’attache à revenir à l’essentiel : la sobriété "

Article de Catherine Daniel paru dans Le Télégramme en décembre 2020

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

                     



Le jour se lève sur le jardin ; c’est bientôt le printemps.

La rosée recouvre toute l’herbe, donnant des reflets de bleu céruléum.

La transparence du matin est le seul moment où l’acuité prend une profondeur

que le soleil écrasera un peu avant midi.

Annick Thévenot est aux aguets. Elle sait se laisser surprendre par les rapports colorés que noue l’atmosphère diaphane du jardin.

Les profondeurs quasi-aquatiques de ces couleurs lavées et relavées par un pinceau alerte

gardent du papier ce blanc presque incandescent et cristallisent ainsi ces moments particuliers.

Annick Thévenot sait ce qu’il faut de patience pour que la lumière, une fois captée, ne se salisse, ni ne s’assombrisse.

Une longue pratique lui donne cette aisance dans ces rapports si difficiles à tenir en équilibre.

Le résultat est là, léger et rafraichissant,

comme le jour qui se lève un matin de printemps.

 

Eric Brault

Saint-Malo le 13 mars 2018



                                                       



 

 

Exposition à la galerie Ombre et Lumière en mars 2019

Le temps souvent laisse choir de petits poucets derrière lui (Tristan Tzara)

 

Kathy Diascorn sème des sachets de malice colorés

 

Il y a quelques espièglerie et autant de rigueur chez cette brestoise qui expose à la galerie Ombre et Lumière. Sous le titre : '' Le temps laisse choir de petits poucets derrière lui...''

 

Ce pourrait être une blague de môme, c'est un vers de L'Homme approximatif, du poète Tristan Tzara. '' je l'ai redécouvert à cette occasion'' s'empresse-t-elle d'ajouter, comme pour amoindrir le côté facétieux de cette citation prise pour titre de son exposition. Au départ la suggestion lui en a été faite par un autre poète, Alain Le Saux, avec lequel elle a fondé la maison d 'édition S'Emmêler : ensemble, ils ont publié le livre d'artistes Ne pas océaniser : Saint-Malo était déjà - ou à nouveau - là, à travers le travail photographique et coloré de la plasticienne sur les fameux brises-lames.

Quelques sourires à traverser.

Brest, Saint-Malo, Rennes, Tokyo : entre tous les lieux d'exposition de Kathy Diascorn, il y a des histoires d'amitié, de fidélité et de rencontres. Et toujours se poursuit ce cheminement créatif à partir des sachets. '' Ce ne sont que des sachets des plus banals, mais dans tout sachet, n'y a-t-il pas une surprise, un secret, un petit bonheur ? Ce sont ces sachets de bonbons, ceux-là même de l'enfance'', précise-t-elle avec ce pétillement des yeux qui la caractérise et signe sa gourmandise artistique. Kathy Diascorn s'en sert comme support, à moins qu'ils ne renferment, bien à plat, quelques messages secrets... Soit le sachet est support isolé, plaqué ou épinglé au mur, suspendu au plafond ou au fil d'une canne à pêche naturelle ; soit il est mis en série. Ainsi naissent ces peintures, empreintes, calligraphies, traits et traces qui ont la profondeur de la vie, la gaîté des couleurs, le mouvement du passage des visiteurs qui cheminent, les traversent et les frôlent dans la galerie.

Chez kathy Diascorn, nulle création ou installation sans recours, écho, appel à l'espace. Ses créations ne sont certes pas dépliées comme le contenant qu'elles sont censées être, mais elles sont pleines, en fait, et de cette potentialité, et du jeu qu'elles entretiennent ensemble et du dialogue établi, créé, voulu avec l'espace environnant. Tel était l'enjeu de son exposition Paysages croisés, de ses fenêtres de tarlatane peintes installées au Huelgoat et de cette forêt de petits poucets qu'il faut prendre le temps de traverser.

 

Jacques Pons Ouest France mars 2019, 

 

 



 

1 : Isabelle Dubrul, céramique, 2018

2 : Isabelle Dubrul, " entre deux rivières", détrempe sur papier, 2020

3 : Isabelle Dubrul, céramique et verre, 2020

 

Isabelle Dubrul étudie à l'Ecole  des Beaux Arts de Paris, dans l'atelier de Marcel Gili et de César de 1981 à 1986

Elle vit et travaille en Bretagne

son travail est à découvrir sur : http://dol-atelier-de-la-gare.com

 

 

 

 

 

 


 

    Isabelle a pratiqué le dessin et la sculpture aux Beaux-Arts de Paris, de 1980 à 1986. Dans l’atelier de Marcel GILI et surtout de CÉSAR elle travaille le plâtre à partir d’une armature en fil de fer, ce qui donne à toute son œuvre, peinture, gravure ou sculpture, une structure sous-jacente. Ce travail lui a inspiré une série de bas-reliefs et sculptures en plâtre et toile qui nourrissent l’ossature et lui donne chair, subtilité, transparences.

    Un long séjour à la casa Velazquez à Madrid et dans la région aride de la sierra de Gredos (1987-1991) lui fait prendre conscience des liens de l’homme et de la nature. Les roches qui affleurent dans le paysage et les murets de pierre qui délimitent les champs en contraste avec la végétation sont comme des parcelles de corps qui surgissent de la nature sauvage. 

    Revenue en Bretagne où elle vit, elle pratique la technique de la cire perdue qui donnera naissance à des arbres et des rigoles inspirées des eaux de ruissellement en bronze bruns, verts ou dorés.

    Suite à une exposition de gravures grand format tirées à l’atelier Tugdual, Nicole Laurent-Catrice lui propose des poèmes qui donneront lieu à un grand livre : Corps perdu où les deux artistes se sont retrouvées autour du thème de l’os et du corps. Isabelle Dubrul poursuit leur collaboration avec des lavis autour de l’arbre, puis des empreintes sur une idée de rivière.

    La rencontre avec les percussions hors normes de Christian Meghe en 2005 et le clavier de Zap Pascal en 2007 libère son geste pictural et lui fait intégrer la danse, improvisation gestuelle et corporelle, qui donne naissance à de très grands formats colorés où l’on retrouve la structure verticale qui caractérise son œuvre.

 

 

    Etudes à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, dans l'atelier de Marcel Gili et de Cesar. Elle vit et travaille en Bretagne.

    Son travail présente l'enchevêtrement de l'Homme et de la Nature -espaces ouverts de circulation- comme une évidence, une vérité à méditer.

    En observant le travail d'Isabelle Dubrul, s'impose avec ténacité la relation entre formes naturelles et corps humain, l'analogie rend les possibilités de lectures infinies.

    Serait-ce le courant séculaire de l'eau, du vent ou du sang, qui traverse ses oeuvres aux puissantes accroches de lumières et tendres méandres ?

    L'artiste nous ramène à des émotions primitives où nous pouvons constater avec étonnement à quel point nous sommes une émergence vitale de la terre

 

 

 

 

 

 

 

 

           

    Etudes à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, dans l'atelier de Marcel Gili et de Cesar. Elle vit et travaille en Bretagne.

    Son travail présente l'enchevêtrement de l'Homme et de la Nature -espaces ouverts de circulation- comme une évidence, une vérité à méditer.

    En observant le travail d'Isabelle Dubrul, s'impose avec ténacité la relation entre formes naturelles et corps humain, l'analogie rend les possibilités de lectures infinies.

    Serait-ce le courant séculaire de l'eau, du vent ou du sang, qui traverse ses oeuvres aux puissantes accroches de lumières et tendres méandres ?

    L'artiste nous ramène à des émotions primitives où nous pouvons constater avec étonnement à quel point nous sommes une émergence vitale de la terre.
 

 

 



Né à Lesconil en 1936 Henri Girard vit et travaille à Quimper

Il dessine et peint depuis l'âge de 11 ans. 

Henri girard a exposé de nombreuses fois depuis 1998 à la galerie Ombre et Lumière.

Il a réalisé un livret de la collection Césure avec le poète Marc Le Gros.

Un livre de la collection Ombre et Lumière aux éditions apogée lui est consacré en 2008.

Vous trouverez de nombreuses informations sur son cheminement et surtout sur son récent travail à Ouessant En cliquant ici,

et sur youtube 

  Sur les chemins d'Henri Girard, peintre de la trace et de la mémoire 

( un reportage de Sabine Marie-Murgue - Montage Hélène Notat - Mixage Jonathan Ruelle )

 

 

 



 

Béatrice Querrec est une  artiste peintre qui vit et travaille à Lorient. Elle expose depuis 1997 en Bretagne et régulièrement  à la Galerie Ombre et Lumière